À travers des recherches documentées dans des domaines aussi divers que le droit, les sciences naturelles ou l’histoire de l’art et des médias, Henrik Olesen aborde dans son œuvre très éclectique des questions d’identité, de langage et de représentation pour interroger les relations de pouvoir et les normes qui régissent nos sociétés. Sa démarche conceptuelle, rassemblant aussi bien collages, posters, textes, sculptures, installations et interventions architecturales, adopte une esthétique radicale et souvent très minimale.

Né à Esbjerg, au Danemark, en 1967, Henrik Olesen vit et travaille à Berlin. Il est représenté par les galeries Buchholz (Berlin/ Cologne/New York) et Franco Noero (Turin).

Son travail a fait l’objet de nombreuses expositions solo dans des institutions privées et publiques internationales, comme le Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía à Madrid (2019), le Pavillon Schinkel à Berlin (2018), le CCA Wattis Institute for Contemporary Art à San Francisco, USA (2017), Dépendance à Bruxelles (2005 et 2014), le Musée Ludwig à Cologne, (2012) le MoMA à New York (2011), la Malmö Konsthall à Malmö (2010), la Pinakothek der Moderne à Munich (2008), le Migros Museum fur Gegenwartskunst à Zurich (2007), la Transmission Gallery à Glasgow (2005), Secession à Vienne (2004) ou le Kunstverein à Salzbourg (2003).

Henrik Olesen a également participé à de nombreuses expositions collectives dans des institutions internationales comme la Collection Giancarlo e Danna Olgiati à Lugano (2023), le Palais de Tokyo à Paris (2003 et 2023), le Museum Gunzenhauser à Chemnitz (2022), la Pinakothek der Moderne à Munich (2022), le Museum Moderner Kunst Stiftung Ludwig à Vienne (2022), la Bundeskunsthalle à Bonn (2022), le Kunstmuseum à Bâle (2022), le Migros Museum für Gegenwartskunst à Zurich (2021), le KW Institute for Contemporary Art à Berlin (2021), la Künstlerhaus à Vienne (2021), le Kunstverein für die Rheinlande und Westfalen à Düsseldorf (2019), le Hammer Museum à Los Angeles (2018), le New Museum à New York (2008, 2012 et 2017), la Punta della Dogana – Fondation Pinault à Venise (2015 et 2016), la Fondation Prada à Milan (2016), le Centre For Contemporary Art Ujazdwski Castel à Varsovie (2014), l’Australian Center for Contemporary Art à Melbourne (2013), la Fondation Giorgio e Isa De Chirico à Rome (2012), le KW Institute for Contemporary Art à Berlin (2011), le Museum of Modern Art à Varsovie (2010), le MACBA à Barcelone (2009), l’ICA – Institute of Contemporary Arts à Londres (2008), le Witte de With à Rotterdam (2007) et le Museum Ludwig à Cologne (2006).

Le travail d’Henrik Olesen a été également présenté dans de nombreuses manifestations internationales à l’instar des 32e et 33e biennales de São Paulo (2016 et 2018), de la biennale de Taipei (2014), de la 12e biennale d’Istanbul (2011), de la 8e biennale de Gwangju (2010), de la 6e biennale d’art contemporain de Berlin (2010), des 50e et 53e biennales de Venise (2003 et 2009), ainsi que la 8e triennale d’art internationale de Vilnius (2002).